Alone for ever ?


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Alone for ever ?

Meryl Elisson

Meryl Elisson

Seconde

Messages : 72
Points : 421
Age : 23
Avatar : Lucy Hale
Pseudo : Yukyonna
Doubles-Comptes : Grace Karter |John Smith |James Hill |Irma Bratton | Hope Day

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Âge & Date de Naissance: 14 ans le 28 Septembre 2000.
Statut: Célibataire.
Boulot/matières :: Maths, Astronomie, Dessin, Cinéma, Physique.

MessageSujet: Alone for ever ? Alone for ever ? EmptyDim 28 Sep - 14:17

PRESENT ME ? CERTAINLY.



Meryl Elisson




Hello Again.*
Je me nomme Meryl Elisson et j'ai 14 ans, je suis née le 28/09/2000. Je suis une élève de seconde. Mon expression favorite est "Chaque pouvoir implique de grandes responsabilités". J'aime la sf, geeker/lire/écrire/dessiner/regarder des films/écouter de la musique et je déteste les incultes, les gens qui me haïssent parce que je suis juste "intelligente", le langage sms. Je suis hétéro.Et ma tête, c'est celle de Lucy Hale, me la vole pas j'y tiens !

Derrière l'écran...*
Hey ! Mon pseudo est Yukyonna (ou Yuki', comme tu préfères) et j'ai 14 ans. Je fais du RP depuis [color:d15e=e8e8e8]2 ans, et j'adore ça. Mon expression favorite est "L'intelligence n'est pas un privilège, mais c'est un don qu'on doit mettre au service de l'humanité". J'aime tout ce qu'aime Meryl et je déteste tout ce que Meryl déteste. J'ai découvert le forum par le biais de mon alter-ego maléfique... non moi, et pour l'instant je le trouve Agnès.




 

Le corps humain.*
Des cheveux bruns longs légèrement bouclés s'arrêtant au milieu du dos. De grands yeux verts encadrés de longs cils marqués, des traits fins, une peau terriblement blanche, fine, 1m65. Je suis pas moche, on me qualifie de mignonne, même de belle, mais je me trouve... Horrible, quoi. Même si parfois, j'apprécie ce corps disgracieux, je l'avoue. Mais... Mais sérieusement, suis-je la seule à ne pas savoir faire une roulade avant et arrière, et être nulle dans tous les sports -à part la natation, malgré ma très légère aquaphobie- ?
Non mais cette tête est absolument l'inverse de moi, quoi. Des sourires pleins de fossettes, c'est joli, mais argh, ça ne me colle pas, quoi !
On dirait que c'est déjà la tête de la personne que je veux devenir...




Adolescence. LOL.*
Comment me qualifier ? Je suis d'une complexité terrifiante. Tout dépend des gens que je côtoie.
Avec certains, je peux être têtue, arrogante, agressive, sèche, mais sans aller jusqu'à la méchanceté pure et simple. Je suis horriblement impatiente, me lassant vite de beaucoup de choses. Voulant tout faire tout tout de suite, à mes risques et périls, voulant pouvoir accélère le temps.
Et puis mon caractère change, avec d'autres, je suis timide, gentille, souriante, gênée, montrant sûrement le véritable moi, enfouie en dessous de tous les autres Moi que je me suis crée. Et je suis un peu plus patiente. Un peu plus.
En gros, tout dépend de mon humeur du moment, ayez juste de la chance.
Mon cerveau a tendance à se bloquer sur la dernière chose que j'aie aimé, pour me torturer avec, à remuer sans cesse le personnage que j'aie apprécié, avant que je l'ajoute à ma liste des gens fictifs que j'aime. Et non, je vous ferai pas le décompte, je risque d'en oublier de toute façon, et je ne risque pas de me pardonner.
Je suis, d'une certaine façon, cultivée. Bon, okay, je connais pas tout sur tout mais je connais pas mal de choses qui me parlent plus ou moins. Je lis des livres (pas des tonnes, mais j'aime lire), j'écris (plus ou moins bien, je crois que ça se voit, je HAIS faire des fautes (j'en fais... des fois... Je vous en prie c'est "ça va" pas "sa va" !) et le langage sms), je dessine, je joue. Pas au ballon, j'ai passé l'âge hein (et puis de toute façon j'aime pas donc osef), je joue aux Jeux vidéo (avec un grand J) tellement plus intéressant que les barbies. Je regarde des films (pas en masse, c'est souvent de la redif d'un film que j'ai déjà vu) et... Je suis souvent sur l'ordinateur. D'ailleurs, je veux bosser plus tard dans l'informatique, j'ai ça dans le sang. Peut-être que ça a un lien avec l'entreprise que dirigent mes géniteurs ?
Je lis, j'écris, je dessine, je joue et je regarde tout dessus. Il réunit tout ce que j'aime faire. Y compris flemmarder. Je suis une grosse faignante qui hait par-dessus tout faire du sport. Evidemment, pour être dans cette école, je suis surdouée. J'ai toujours eu des aisances fascinantes dans tout, ce qui fait que j'étais de loin première de ma classe dans mes anciennes écoles soit-disant adaptées à mon intellect. Personnellement, je me suis toujours trouvée... Normale, quoi. Je suis bête, des fois. Beaucoup de fois. Comme tout le monde. J'ai une passion pour répondre à côté de la plaque, trop dans mes pensées, sûrement. Croyant que tout le monde comprend ce que je veux dire. Bien sûr, il y en a certains qui pigent, pas tous.
Je veux me fondre dans la masse. Devenir invisible, intouchable, aimée de tous. Car oui, je suis facilement vexable. Je respecte les gens, je les apprécie, mais eux, ils me haïssent. Trop différente. Inclassable. On ne peut pas me classer dans telle ou telle catégorie. J'ai eu droit bien sûr à l'appellation péjorative "intello" qui sous-entend que c'est une personne hors du temps, à détester, à jalouser par sa brillance et sa capacité à collecter que de bonnes notes dans leur sillage. Quelqu'un qu'il faut détruire, par tous les moyens. Qu'ai je fait de mal dans ce monde, sérieusement ? J'ai souvent traîné avec des garçons, c'est ça ? Mais, en fait, je trouve les filles trop... Superficielles ? Se disputant pour un oui ou un non, classant leurs amies dans des catégories bien distinctes... Des clichés sur pattes ? Bien sûr, il y a des exceptions.
Mais même avec des garçons, j'ai eu des réflexions désagréables. Combien de fois un "vous êtes ensemble ?" "Vous êtes amoureux ?"... Mais, bon sang, je ne suis jamais tombée amoureuse ! (à part de gens qui existent pas, mais ils existent pas donc osef) Je ne cours pas après les gars comme ces filles-clichés...
Alors voilà, à cause des autres, de ma susceptibilité, je suis devenue froide, cherchant à être encore plus enfoncée dans ma solitude, et pourtant... J'essaie de me re-sociabiliser. Mais les gens ne changent pas. Les cons restent des cons, n'est ce pas ?
Ah, la solitude. J'aime être seule. C'est peut-être pour ça que je n'ai pas choisi d'être internée.
On me dit de ne pas y tenir compte. J'essaie. Mais j'ai toujours cette partie niaise et gentille qui tient du regard des autres. Elle me freine.
C'est peut-être à force d'être détestée que je suis devenue celle que je suis maintenant.
Est ce que je suis incomprise, en fait ?










Et c'est l'histoire de la vie, ce cycle éternel...*
Moi ? Meryl Elisson, née d'une mère française et d'un père américain, un beau 28 Septembre. Restée pendant ses cinq premières années à Lyon.
Avant que l'ont découvre que j'étais surdouée.
Je n'ai pas arrêté de changer d'endroit depuis, allant de la la Buenos Aires à Tokyo, dans des écoles spécialisées, toujours première de la classe. Mes parents était un couple à la tête d'une entreprise mondiale à grande renommée, qui ne cessaient de se déplacer pour des voyages d'affaires. Du coup, ils m'emmenaient avec moi. Est ce que c'est parce qu'ils tenaient à moi ?
Je ne les ai pas vraiment connus. La trentaine, bruns, énormément riches, huit bonnes années d'écart, m'aimant, alors que je commençais à les voir comme des étrangers. Trop absents, sans doute.
A huit ans, j'ai maîtrisé l'anglais avec un accent français en fond, abandonnant petit à petit ma langue maternelle.
Dix ans, je parlais anglais quasiment tout le temps, plus aucune sonorité française ne se faisait entendre (sauf si on a une bonne oreille), et les voyages de mes parents devenaient de plus en plus fréquents. Il se décidèrent alors de me payer un professeur spécialisé, c'est d'ailleurs avec lui que j'ai appris l'espagnol et le japonais. Malgré toutes ses langues apprises, je ne pouvais pas m'empêcher de penser en français, malgré mon amour pour l'anglais.
Douze ans, je vois de moins en moins mes géniteurs, préférant apparemment leur travail à leur fille, qui avait comme seul compagnon la même personne qui lui faisait des cours. Super, cette vie, vous ne trouvez pas ?
Treize ans, je fais une crise. Je déclare que j'en ai assez de leur indifférence, et j'en ai marre de me traîner partout où ils vont, si c'est pour ne pas s'occuper de leur progéniture, cruellement en manque d'affection. Je veux rester sédentaire, autour de personnes que je veux apprécier. J'ai tellement perdu d'amis à cause de leur changements de destinations tous les 2 mois...
Treize ans et 11 mois, j'arrive à faire craquer mes parents. Ils décident de m'envoyer ici, en internat, en achetant au passage une petite maison rien que pour moi, dans le quartier Nord, où ils me rendront visite, parfois, les week-end. Quand ils auront le temps.
Mais est ce que c'était ce que je voulais ?




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